Notre pain quotidien: Osons le poisson
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Notre pain quotidien: Osons le poisson
Notre pain quotidien: Osons le poisson
otre naufrage a poussé une bonne partie de nos camarades à chercher les hautes terres et leur protection contre tous les risques du domaine marin. Nombreux sont ceux qui déchantent en voyant les maigres récoltes arriver à leurs greniers. Le terreau est pauvre, le climat rude et à la fin du labeur un ouvrier agricole ne peut nourrir que quatre personnes supplémentaires.
Pour ceux qui gardent une appréhension tout à fait compréhensible envers la mer il y a la solution technologique que certains prêtres sont déjà en train de chercher. Les études préliminaires tendraient à prouver que nous outils ne soient pas adaptés à ces terres et qu/’un nouveau type de moissonneuses puisse fortement augmenter le rendement des champs.
Les autres devront faire l’expérience du poisson comme base de nourriture. Il est vrai que dans nos terres natales ce met ne servait qu/’au carême et jouissait d/’une renommé douteuse, mais les différents poissons des mers aramooniennes ont un goût excellent et une valeur nutritive supérieure aux maigres graines de la terre. Et celui qui après avoir dégusté une darne de merlu du détroit de Kandera à la façon basque ose préférer un gruau d’avoine médiocre du plateau Sandurien aura tout le droit de continuer à en manger. Mais qu/’il ne plaigne plus de la pauvreté de sa nourriture et de son goût insipide.
Le Seigneur nous offre une corne d’abondance dans ces mers. Profitons-en !
G.H.L.
otre naufrage a poussé une bonne partie de nos camarades à chercher les hautes terres et leur protection contre tous les risques du domaine marin. Nombreux sont ceux qui déchantent en voyant les maigres récoltes arriver à leurs greniers. Le terreau est pauvre, le climat rude et à la fin du labeur un ouvrier agricole ne peut nourrir que quatre personnes supplémentaires.
Pour ceux qui gardent une appréhension tout à fait compréhensible envers la mer il y a la solution technologique que certains prêtres sont déjà en train de chercher. Les études préliminaires tendraient à prouver que nous outils ne soient pas adaptés à ces terres et qu/’un nouveau type de moissonneuses puisse fortement augmenter le rendement des champs.
Les autres devront faire l’expérience du poisson comme base de nourriture. Il est vrai que dans nos terres natales ce met ne servait qu/’au carême et jouissait d/’une renommé douteuse, mais les différents poissons des mers aramooniennes ont un goût excellent et une valeur nutritive supérieure aux maigres graines de la terre. Et celui qui après avoir dégusté une darne de merlu du détroit de Kandera à la façon basque ose préférer un gruau d’avoine médiocre du plateau Sandurien aura tout le droit de continuer à en manger. Mais qu/’il ne plaigne plus de la pauvreté de sa nourriture et de son goût insipide.
Le Seigneur nous offre une corne d’abondance dans ces mers. Profitons-en !
G.H.L.
h0mer001- Nombre de messages : 26
Date d'inscription : 08/10/2007
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